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Souvient-
Souvenez-
C'est l'occasion, pour tous ces Anciens Combattants, de se retrouver. Ils sont venu de toutes la France pour ce rendez-
Après un trajet, pas trop long, ni trop fatiguant, tout le monde se retrouvait sur son lieu d'hébergement.
Une liste comportant le nom de tous les participants était affichée sur des tableaux.
Sur le listing de la Vendée, un ancien soldat est interpellé par un nom RAUTUREAU, une ville, Montaigu, qui lui rappelle de vieilles images, de très vieux souvenirs!
Non! non! ce n'est pas possible!
En s'adressant à Alain BAUCHET, Président de l'Antenne locale de la Boissière de Montaigu: "bonjour Monsieur! Vous ne connaîtriez pas un RAUTUREAU, de Montaigu, en Vendée".
"Non, pas de Montaigu, mais des RAUTUREAU, il n'y en a pas beaucoup, et je connais un RAUTUREAU Pierre, de La Boissière de Montaigu, il est même avec nous!"
Non! non! ce n'est pas possible!
Notre président comme un bon organisateur pense un scénario.
Si ce soir, au cours du diner, j'appelais Pierrot dans la salle à manger du restaurant, qui ne comptait pas moins de 150 convives, pour lui présenter son copain de régiment?
Et c'est comme cela, au cours de ce diner, que Pierre RAUTUREAU, Pierrot pour ses amis, retrouve son vieux camarade de régiment, cinquante ans après.
Et c'est comme cela, au cours de ce diner, que Pierre RAUTUREAU, Pierrot pour ses amis, retrouve son vieux camarade de régiment, cinquante ans après. Monsieur Pierrot RAUTUREAU, vous êtes demandé au téléphone !
Un moment très émouvant, celui ou Pierrot retrouve son copain de régiment, Marcel PERRIN, 50 ans après.
Le hasard avait voulu que ces deux anciens soldats se trouvent logés dans le même hôtel.
Après ce moment d'émotion intense, et une petite chansonnette, cette séquence se termine par :
Le verre de l'amitié.
Cette soirée fut très longue, mais beaucoup trop courte pour se rappeler tous les souvenirs passer ensemble.
Après avoir, avec quelques camarades, consommé quatre bouteilles de Jurançons, une spécialité locale, il fallut bien se séparer et aller se reposer.
L'histoire nous dit que vers une heure du matin, notre ami Pierrot, ne dormant pas, demande à Marie Annick un efferalgan pour son mal ..... de genoux!!!